La famille Rochette,
pionnière de Hauterive
En 1950, le bas de la ville de Hauterive qui va jusqu'au
pont de la rivière Manicouagan est propice à l'agriculture.
Le ministère de la Colonisation offre cet espace à 27 colons.
Gérard Rochette et Françoise Lefebvre font partie de ces
premières familles qui s'installent à la "colonie" comme on
dit à l'époque. Ils auront 8 enfants, dont plusieurs occuperont
la scène artistique de la région. La vocation agricole de ces
lots ne durera pas. La ville de Hauterive viendra s'y développer.
pont de la rivière Manicouagan est propice à l'agriculture.
Le ministère de la Colonisation offre cet espace à 27 colons.
Gérard Rochette et Françoise Lefebvre font partie de ces
premières familles qui s'installent à la "colonie" comme on
dit à l'époque. Ils auront 8 enfants, dont plusieurs occuperont
la scène artistique de la région. La vocation agricole de ces
lots ne durera pas. La ville de Hauterive viendra s'y développer.
"Venu avec la volonté de défricher son lot de terre pour y
devenir colon, mon père a mis les pieds à Hauterive pour la première
fois le 6 mai 1950, la même journée où Rimouski passait au feu. Il a vu
de son côté du fleuve l’ampleur de l’incendie. Le premier arbre qu’il a
bûché est devenu cette croix." Texte de Michelle Rochette, 4e de la famille.
"De gauche à droite : mon père Gérard Rochette, Mgr N.-A. Labrie,
entre les deux religieux le bout de la tête de ma mère Françoise
(Lefebvre) Rochette, Mgr René Bélanger (En 1950, il est desservant de la
nouvelle mission de Hauterive, aumônier de l’Hôtel-Dieu de Hauterive),
Thérèse Otis (femme de Maurice Gendron), Maurice Gendron et
Fernand Otis." Texte de Michelle Rochette, 4e de la famille.
Mon père, abonné au Guide du colon, Province de Québec publié
par le ministère de la colonisation voulait cultiver ce terrain défriché
à l’huile de bras. Nous avons eu, je crois 3 chèvres, quelques poules,
une vache et des lapins. J’imagine qu’il pensait en faire plus.
Michelle Rochette, 4e de la famille.
En 1950, le bas de la ville de Hauterive qui va jusqu'au pont de la rivière Manicouagan est propice à l'agriculture. Le ministère de la Colonisation offre cet espace à 22 colons. Gérard Rochette et Françoise Lefebvre font partie de ces premières familles qui s'installent à la "colonie" comme on dit à l'époque. Ils auront 8 enfants, dont plusieurs occuperont la scène artistique de la région. La vocation agricole de ces lots ne durera pas. La ville de Hauterive viendra s'y développer.
"Venu avec la volonté de défricher son lot de terre pour y devenir colon, mon père a mis les pieds à Hauterive pour la première fois le 6 mai 1950, la même journée où Rimouski passait au feu. Il a vu de son côté du fleuve l’ampleur de l’incendie. Le premier arbre qu’il a bûché est devenu cette croix." Texte de Michelle Rochette, 4e de la famille.
De gauche à droite : mon père Gérard Rochette, Mgr N.-A. Labrie, entre les deux religieux le bout de la tête de ma mère Françoise (Lefebvre) Rochette, Mgr René Bélanger (En 1950, il est desservant de la nouvelle mission de Hauterive, aumônier de l’Hôtel-Dieu de Hauterive), Thérèse Otis (femme de Maurice Gendron), Maurice Gendron et Fernand Otis. Texte de Michelle Rochette, 4e de la famille. Texte de Michelle Rochette, 4e de la famille.
Mon père, abonné au Guide du colon, Province de Québec publié par le ministère de la colonisation voulait cultiver ce terrain défriché à l’huile de bras. Nous avons eu, je crois 3 chèvres, quelques poules, une vache et des lapins. J’imagine qu’il pensait en faire plus. Texte de Michelle Rochette, 4e de la famille.