CLARENCE ALPHONSE GAGNON
1881 – 1942
SELON JÉRÉMIE GILES
Clarence Gagnon est né dans le petit village de Sainte-Rose, au Québec. Tout au long de sa carrière, il s’installa occasionnellement dans le beau village de Baie-Saint-Paul. Nous le voyons ici surplombant cette magnifique vallée, où il trouva le calme et l’inspiration d’une grande partie de son œuvre.
À maintes reprises, il accueillit des amis artistes, entre autres, A.Y. Jackson (1882-1974) et Edwin Holgate (1892-1977). Cependant, une amitié plus étroite le liait au peintre Horatio Walker (1858-1938) de l’Ile d’Orléans, au Québec. Les deux hommes ont entretenu une bonne relation tout au long de leur vie. Gagnon est celui qui encouragea le peintre trappeur René Richard (1895-1982) à s’installer à Baie-Saint-Paul.
Clarence Gagnon a étudié avec William Brymner (1855-1925) et avouait admirer les œuvres du peintre James Wilson Morrice (1864-1924): pour sa part, cependant, il préférait les sujets à caractère rural. Il rejoignait ainsi des peintres comme Henri Julien (1852-1908) et Charles William Jefferys (1869-1951).
Les illustrations du roman Maria Chapdelaine, écrit par Louis Hémon, donnent une bonne idée des connaissances et du talent de cet artiste. Il a consacré 5 années à faire de la recherche avant d’exécuter les 54 magnifiques illustrations de ce livre de collection. Il disait vouloir capter l’esprit du Canada et immortaliser la vie des Canadiens français.
“Le livre, disait-il, illustre le courage et l’instinct de cette brave minorité de pionniers.”
Voilà qui en dit long sur l’homme, ses valeurs et le talent qu’il avait pour les véhiculer.
JÉRÉMIE GILES
Clarence Gagnon est né dans le petit village de Sainte-Rose, au Québec. Tout au long de sa carrière, il s’installa occasionnellement dans le beau village de Baie-Saint-Paul. Nous le voyons ici surplombant cette magnifique vallée, où il trouva le calme et l’inspiration d’une grande partie de son œuvre.
À maintes reprises, il accueillit des amis artistes, entre autres, A.Y. Jackson (1882-1974) et Edwin Holgate (1892-1977). Cependant, une amitié plus étroite le liait au peintre Horatio Walker (1858-1938) de l’Ile d’Orléans, au Québec. Les deux hommes ont entretenu une bonne relation tout au long de leur vie. Gagnon est celui qui encouragea le peintre trappeur René Richard (1895-1982) à s’installer à Baie-Saint-Paul.
Clarence Gagnon a étudié avec William Brymner (1855-1925) et avouait admirer les œuvres du peintre James Wilson Morrice (1864-1924): pour sa part, cependant, il préférait les sujets à caractère rural. Il rejoignait ainsi des peintres comme Henri Julien (1852-1908) et Charles William Jefferys (1869-1951).
Les illustrations du roman Maria Chapdelaine, écrit par Louis Hémon, donnent une bonne idée des connaissances et du talent de cet artiste. Il a consacré 5 années à faire de la recherche avant d’exécuter les 54 magnifiques illustrations de ce livre de collection. Il disait vouloir capter l’esprit du Canada et immortaliser la vie des Canadiens français.
“Le livre, disait-il, illustre le courage et l’instinct de cette brave minorité de pionniers.”
Voilà qui en dit long sur l’homme, ses valeurs et le talent qu’il avait pour les véhiculer.
JÉRÉMIE GILES