Biographie résumée
de Mgr N.-A. Labrie
1893-1973
Quelques dates dans la vie de Mgr Labrie.
1893 – NAISSANCE
Le 5 août 1893, Napoléon-Alexandre Labrie
voit le jour à Godbout, un village isolé de la Côte-Nord.
1905 à 1922 – ÉTUDES.
N.-A. Labrie est à Manicouagan (village disparu de la
région Baie-Comeau) pour ses études primaires (1905-1907)
et Pentecôte (1907-1909). Puis pour ses études classiques,
il est à Pointe-de-l'Église en Nouvelle-Écosse (1909-1915) et
Bathurst au Nouveau-Brunswick (1915-1918). C'est à Rome
qu'il fait sa théologie (1918-1922) et en profite pour
apprendre l'italien.
1922 – ENSEIGNEMENT
Il enseigne au collège de Bathurst durant un an.
1923 à 1938 – PRÊTRE-MISSIONNAIRE
N.-A. Labrie est prêtre-missionnaire Eudiste à Betsiamites (1923)
pour y réaliser un rêve de jeunesse, "celui de consacrer sa vie
aux indiens de l'intérieur du pays et du Labrador". Il en profite
pour apprendre l'innue. Il est en même temps responsable d'une
paroisse qui va de Sault-aux-Cochons (Forestville) au Poste
Manicouagan (Baie-Comeau).
Plus de détails à ce sujet sur cette page
https://napoleonalexandrelabrie.org/bersimis.html
Il s'installe ensuite à Pointe-aux-
Outardes (1929) pour s'occuper d'une paroisse qui va de Ragueneau
au poste Manicouagan (Baie-Comeau). Puis en 1931 il est transféré
à Baie-Rouge près de La Tabatière sur la Basse Côte-Nord (1931).
1893 – NAISSANCE
Le 5 août 1893, Napoléon-Alexandre Labrie
voit le jour à Godbout, un village isolé de la Côte-Nord.
1905 à 1922 – ÉTUDES.
N.-A. Labrie est à Manicouagan (village disparu de la
région Baie-Comeau) pour ses études primaires (1905-1907)
et Pentecôte (1907-1909). Puis pour ses études classiques,
il est à Pointe-de-l'Église en Nouvelle-Écosse (1909-1915) et
Bathurst au Nouveau-Brunswick (1915-1918). C'est à Rome
qu'il fait sa théologie (1918-1922) et en profite pour
apprendre l'italien.
1922 – ENSEIGNEMENT
Il enseigne au collège de Bathurst durant un an.
1923 à 1938 – PRÊTRE-MISSIONNAIRE
N.-A. Labrie est prêtre-missionnaire Eudiste à Betsiamites (1923)
pour y réaliser un rêve de jeunesse, "celui de consacrer sa vie
aux indiens de l'intérieur du pays et du Labrador". Il en profite
pour apprendre l'innue. Il est en même temps responsable d'une
paroisse qui va de Sault-aux-Cochons (Forestville) au Poste
Manicouagan (Baie-Comeau).
Plus de détails à ce sujet sur cette page
https://napoleonalexandrelabrie.org/bersimis.html
Il s'installe ensuite à Pointe-aux-
Outardes (1929) pour s'occuper d'une paroisse qui va de Ragueneau
au poste Manicouagan (Baie-Comeau). Puis en 1931 il est transféré
à Baie-Rouge près de La Tabatière sur la Basse Côte-Nord (1931).
1938 à 1946 – ÉVÊQUE-VICAIRE
Sa carrière d'évêque débute lorsqu'il est nommé à la direction du
Vicariat apostolique du Golfe Saint-Laurent, un type d'administration
hérité de l'époque où la Côte-Nord est encore une terre missionnaire
peu peuplée. Le Vicariat s'étend de Forestville à Natashquan et ne
compte que 15 000 habitants environ. Mgr Labrie est alors en poste
à Havre-Saint-Pierre.
1946 à 1956 – ÉVÊQUE EN TITRE
Mgr Labrie devient l'évêque en charge du premier diocèse formé sur
la Côte-Nord, le diocèse du Golfe Saint-Laurent, qui s'étend de
Tadoussac à Natashquan. Il entre en poste à Baie-Comeau puis se
déplace un peu à l'ouest pour fonder Hauterive et y développe r ses
institutions diocésaines, dont un nouvel évêché qu'il occupe en 1950.
Le diocèse deviendra le Diocèse de Hauterive (1960) puis de
Baie-Comeau (1986).
1956 – DÉMISSION
Mgr Labrie démissionne de manière innatendue pour
des raisons strictement personnelles qu'il ne voudra jamais
élucider. Il quitte définitivement la Côte-Nord.
1957 à 1968 – MISSIONS ÉTRANGÈRES
En poste à Québec, il devient directeur national des Œuvres de
la Propagation de la Foi et St-Pierre Apôtre, deux œuvres dédiées
aux missions étrangères.
1968 – RETRAITE
Il prend sa retraite à la maison des Eudistes de
Charlesbourg et décède à l'Hôtel-Dieu de Québec le 16 mai 1973.
1973 – DÉCÈS et INHUMATION
Mgr Labrie décède à l'Hôtel-Dieu de Québec le 16 mai 1973.
Son testament rappelle sa profonde modestie: un cercueil simple et pas
de grand mouvement pour l'humble enfant du nord qu'il a toujours été.
En 2003 ses restes seront transférés à Baie-Comeau au cimetière
St-Joseph-de-Manicouagan à l'occasion du 100e anniversaire
de la présence des Eudistes sur la Côte-Nord.
Biographie résumée
de Mgr N.-A. Labrie
1893-1973
Quelques dates dans la vie de Mgr Labrie
1893
NAISSANCE
Le 5 août 1893, Napoléon-Alexandre Labrie voit le jour à Godbout, un village isolé de la Côte-Nord
1905 à 1922
ÉTUDES
N.-A. Labrie est à Manicouagan pour ses études primaires (1905-1907) et Pentecôte (1907-1909). Puis pour ses études classiques il est à Pointe-de-l'Églises en Nouvelle0Écosse (1909-1915). C'est à Rome qu'il complète sa théologie (1918-1922) et en profite pour apprendre l'italien.
1923 à 1938
PRÊTRE-MISSIONNAIRE
N.-A. Labrie est prêtre-missionnaire Eudiste à Betsiamites (1923) pour y réaliser un rêve de jeunesse, "celui de consacrer sa vie aux indiens de l'intérieur du pays et du Labrador". Il en profite pour apprendre l'innue. Il est en même temps responsable d'une paroisse qui va de Sault-aux-Cochons (Forestville) au poste Manicouagan (Baie-Comeau).
Plus de détails à ce sujet sur cette page:
https://napoleonalexandrelabrie.org/bersimis.html
Il s'installe ensuite à Pointe-aux-Outardes (1929) pour s'occuper d'une paroisse qui va de Ragueneau au Poste Manicouagan (Baie-Comeau). Puis en 1931 il est transféré à Baie-Rouge près de La Tabatière sur la Basse Côte-Nord (1931).
1893
NAISSANCE
Le 5 août 1893, Napoléon-Alexandre Labrie voit le jour à Godbout, un village isolé de la Côte-Nord
1905 à 1922
ÉTUDES
N.-A. Labrie est à Manicouagan pour ses études primaires (1905-1907) et Pentecôte (1907-1909). Puis pour ses études classiques il est à Pointe-de-l'Églises en Nouvelle0Écosse (1909-1915). C'est à Rome qu'il complète sa théologie (1918-1922) et en profite pour apprendre l'italien.
1923 à 1938
PRÊTRE-MISSIONNAIRE
N.-A. Labrie est prêtre-missionnaire Eudiste à Betsiamites (1923) pour y réaliser un rêve de jeunesse, "celui de consacrer sa vie aux indiens de l'intérieur du pays et du Labrador". Il en profite pour apprendre l'innue. Il est en même temps responsable d'une paroisse qui va de Sault-aux-Cochons (Forestville) au poste Manicouagan (Baie-Comeau).
Plus de détails à ce sujet sur cette page:
https://napoleonalexandrelabrie.org/bersimis.html
Il s'installe ensuite à Pointe-aux-Outardes (1929) pour s'occuper d'une paroisse qui va de Ragueneau au Poste Manicouagan (Baie-Comeau). Puis en 1931 il est transféré à Baie-Rouge près de La Tabatière sur la Basse Côte-Nord (1931).
1938 à 1946
ÉVÊQUE-VICAIRE
Sa carrière d'évêque débute lorsqu'il est nommé à la direction du Vicariat apostolique du Golfe Saint-Laurent, un type d'administration hérité de l'époque où la Côte-Nord est encore une terre missionnaire peu peuplée. Le Vicariat s'étend de Forestville à Natashquan et ne compte que 15 000 habitants environ. Mgr Labrie est alors en poste à Havre-Saint-Pierre
1946 à 1956
ÉVÊQUE EN TITRE
Mgr Labrie devient l'évêque en charge du premier diocèse formé sur la Côte-Nord, le diocèse du Golfe Saint-Laurent, qui s'étend de Tadoussac à Natashquan. Il entre en poste à Baie-Comeau puis se déplace un peu à l'ouest pour fonder, Hauterive et y développer ses institutions diocésaines dont un nouvel évêché qu'il occupe en 1950. Le diocèse deviendra le Diocèse de Hauterive (1960) puis de Baie-Comeau (1986).
1956
DÉMISSION
Mgr Labrie démissionne de manière innatendue pour des raisons strictement personnelles qu'il ne voudra jamais élucider. Il quitte définitivement la Côte-nord.
1957 à 1968
MISSIONS ÉTRANGÈRES
En poste à Québec, il devient directeur national des Œuvres de la Propagation de la Foi et St-Pierre Apôtre, deux œuvres dédiées aux missions étrangères.
1968
RETRAITE
Mgr Labrie prend sa retraite à la maison des Eudistes de Charlesbourg.
1973
DÉCÈS et INHUMATION
Mgr Labrie décède à l'Hôtel-dieu de Québec le 16 mai 1973. Son testament rappelle sa profonde modestie: un cercueil simple et pas de grand mouvement pour l'humble enfant du nord qu'il a toujours été.
En 2003 ses restes seront transférés à Baie-Comeau au cimetière St-Joseph-de-Manicouagan à l'occasion du 100e anniversaire de la présence des Eudistes sur la Côte-Nord.