L'ÉDUCATION EST LA PRIORITÉ DE MGR LABRIE
L'ÉDUCATION EST LA PRIORITÉ DE MGR LABRIE
Mgr Labrie fait de l'éducation sa priorité, tant pour les garçons
que pour les filles. Il y consacre toutes les ressources de son
diocèse. Sous son impulsion les constructions d'écoles vont
se succéder en cadence tout le long de la Côte. Parallèlement
Mgr Labrie favorisera la formation des enseignantes en ouvant
des écoles Normales à Havre-Saint-Pierre(1939) puis à Baie-
Comeau(1949) et ensuite Hauterive. Finalement il ouvrira le cours
classique à Hauterive (1954) avec la complicité de Mgr René
Bélanger et travaillera à la création du Collège classique de
Hauterive, première institution d'enseignement supérieur sur la
Côte-Nord qui ouvrira en 1958 après son départ de la région.
Anecdote à propos de la construction des écoles
"Quand j’avais des écoles à construire, le gouvernement me promettait une certaine somme mais ne payait qu’une fois l’école construite.
Madame Boulay (de Ragueneau) agissait alors comme ma banque. Elle me prêtait volontiers ce dont j’avais besoin pour mener les travaux.
Elle avait alors 70 ans."
Mgr Labrie - Quelques souvenirs(1905-1931)
Mg Labrie fait de l'éducation sa priorité, tant pour les garçons que pour les filles.
Il y consacre toutes les ressources de son diocèse. Sous son impulsion les constructions d'écoles vont se succéder en cadence tout le long de la Côte.
Parallèlement Mgr Labrie favorisera la formation des enseignantes en ouvant des écoles Normales à Havre-Saint-Pierre(1939) puis à Baie-Comeau(1949) et ensuite Hauterive.
Finalement il ouvrira le cours classique à Hauterive (1954) avec la complicité de Mgr René Bélanger et travaillera à la création du Collège classique de Hauterive, première institution d'enseignement supérieur sur la Côte-Nord qui ouvrira en 1958 après son départ de la région.
Anecdote à propos
de la construction des écoles
de la construction des écoles
"Quand j’avais des écoles à construire, le gouvernement me promettait une certaine somme mais ne payait qu’une fois l’école construite.
Madame Boulay (de Ragueneau) agissait alors comme ma banque.
Elle me prêtait volontiers ce dont j’avais besoin pour mener les travaux.
Elle avait alors 70 ans."
Mgr Labrie - Quelques souvenirs(1905-1931)
Madame Boulay (de Ragueneau) agissait alors comme ma banque.
Elle me prêtait volontiers ce dont j’avais besoin pour mener les travaux.
Elle avait alors 70 ans."
Mgr Labrie - Quelques souvenirs(1905-1931)